Aujourd’hui, on va parler d’un sujet que beaucoup connaissent, mais que peu comprennent vraiment : la fatigue.
Cette fatigue qui s’installe doucement, qui ne disparaît pas malgré le sommeil, les week-ends de repos ou les vitamines.
Ce que je veux partager avec vous, ce sont les 10 grands coupables cachés de cette fatigue, ces causes invisibles qui épuisent le corps et le mental sans qu’on s’en rende compte.
Je n’ai répertorié ici que certains éléments — il y en a bien davantage — mais ce sont ceux qui reviennent le plus souvent et qui, quand on les connaît, peuvent vraiment nous aider à retrouver de l’énergie.
Alors installez-vous confortablement, respirez un grand coup… et partons explorer ce qui vous fatigue vraiment.
1. Le stress silencieux
Vous croyez “gérer”.
Mais dans nos vies où tout va trop vite, où tout réclame votre attention — notifications, obligations, mental chargé — votre système nerveux reste en hypervigilance constante.
C’est ce qu’on appelle un stress de fond : un état où votre corps croit qu’il doit “tenir bon” en permanence.
Même si vous ne ressentez pas d’angoisse apparente, votre organisme sécrète encore du cortisol, l’hormone du stress.
Quand ce cortisol reste élevé jour après jour, votre corps ne récupère plus correctement.
Vous dormez, mais vous ne vous régénérez pas.
Vous vous reposez, mais vous ne vous détendez pas.
Petit à petit, votre système nerveux s’épuise, votre immunité baisse, votre concentration diminue… et la fatigue devient votre état “normal”.
Outils thérapeutiques pour apaiser le stress silencieux
Respiration consciente :
– Essayez la respiration 4-7-8 : inspirez 4 secondes, retenez 7 secondes, expirez 8 secondes.
– À répéter 3 à 5 fois, plusieurs fois par jour, pour calmer le système nerveux.
Micro-pauses dans la journée :
– Même 1 à 2 minutes de silence, les yeux fermés, en posant vos mains sur le cœur, peuvent aider à réguler le cortisol.
Marche en pleine conscience :
– Sortir 10 à 20 minutes par jour, en observant vos sensations, le souffle, les sons de la nature, aide à redescendre l’hypervigilance.
Techniques corporelles :
– Yoga doux, étirements, auto-massage ou tapping (EFT) pour relâcher les tensions accumulées dans le corps.
Rituel de déconnexion :
– Définissez 1 ou 2 plages dans la journée où vous éteignez vos notifications et écrans.
– Profitez de ce temps pour respirer, marcher, écrire ou simplement ne rien faire consciemment.
2. Les pics de glycémie
Vous pensez manger sainement — végétarien, méditerranéen, équilibré…
Pourtant, le sucre se cache partout : dans les fruits très sucrés, certains légumes, les céréales, les légumineuses, les sauces et même dans certains plats “tout prêts”.
À chaque repas riche en glucides, votre pancréas libère de l’insuline pour réguler le taux de sucre dans le sang.
Au début, il arrive à suivre.
Mais lorsque ces pics se répètent plusieurs fois par jour, pendant des années… votre pancréas s’épuise.
Le résultat ?
Vos cellules deviennent moins sensibles à l’insuline, votre énergie chute brutalement après les repas, et vous ressentez ce fameux coup de barre de 15h.
Ce n’est pas de la paresse.
C’est votre corps qui tente simplement de se stabiliser.
Outils thérapeutiques pour stabiliser la glycémie
Associer protéines et graisses aux glucides
– Par exemple, ajouter des œufs, des noix ou de l’avocat à un repas contenant des légumes ou des fruits.
– Cela ralentit l’absorption du sucre et limite les pics glycémiques.
Fractionner les repas
– Plutôt que 2 repas très copieux, essayez 3 repas équilibrés et éventuellement une petite collation riche en protéines.
– Votre pancréas sera moins sollicité et votre énergie plus stable.
Privilégier les légumes à faible indice glycémique
– Courgettes, brocolis, choux, poireaux, salades vertes.
– Limitez les aliments très sucrés, même “sains”, comme certains fruits très mûrs ou les jus.
Bouger après les repas
– Une courte marche de 5 à 10 minutes aide le corps à utiliser le sucre circulant, réduit le pic d’insuline et améliore l’énergie post-repas.
Hydratation consciente
– Boire de l’eau régulièrement aide le corps à réguler naturellement le glucose sanguin.
3. Les carences cachées
Beaucoup de personnes fatiguées pensent manquer de motivation…
En réalité, elles manquent souvent de nutriments essentiels.
Fer, magnésium, zinc, iode, vitamines du groupe B, oméga‑3…
Ces éléments sont indispensables pour produire de l’énergie dans les mitochondries, les “centrales” de vos cellules.
Sans eux, rien ne tourne rond.
Et même si vous mangez “bien”, plusieurs facteurs peuvent empêcher l’absorption correcte de ces nutriments :
– des sols appauvris,
– des aliments transformés,
– des intestins fragilisés.
Résultat : vous pouvez avoir une alimentation correcte, et être tout de même carencé·e.
Ces carences se manifestent par différents signaux : fatigue persistante, chute de cheveux, ongles cassants, frilosité, troubles de la concentration…
Autant d’indices que votre corps réclame de la matière première pour fonctionner correctement.
Outils thérapeutiques pour combler les carences
Réévaluer votre alimentation
– Privilégiez les aliments riches en micronutriments : légumes verts, fruits rouges peu sucrés, graines, noix, poissons gras, œufs.
Supplémentation ciblée si nécessaire
– Après analyse sanguine ou conseil d’un professionnel, des compléments de fer, magnésium, zinc ou vitamines B peuvent être utiles pour rétablir l’équilibre.
Optimiser l’absorption
– Pour le fer : associez-le à des aliments riches en vitamine C (agrumes, poivrons, persil) et évitez le thé ou café juste après le repas.
– Pour le magnésium : favorisez les aliments complets et les graines (courge, tournesol, sésame).
Prendre soin de vos intestins
– Un microbiote sain facilite l’absorption des nutriments.
– Consommez des aliments fermentés (choucroute, yaourt végétal fermenté, kimchi) et réduisez les aliments ultra-transformés.
Écouter votre corps
– La fatigue persistante, la frilosité ou la chute de cheveux sont des signaux précieux.
– Notez-les, observez les cycles et ajustez votre alimentation ou vos routines en conséquence.
4. L’inflammation de bas grade
On pense souvent que l’inflammation, c’est quand on a mal ou qu’on a un gonflement visible.
Mais il existe une inflammation silencieuse, chronique et diffuse.
Celle-ci n’est pas visible, mais elle épuise votre système immunitaire jour après jour.
Elle peut provenir de plusieurs sources :
– des aliments irritants comme le gluten, les produits laitiers, les huiles raffinées, le sucre ou même certains pesticides,
– un déséquilibre du microbiote intestinal,
– le stress chronique,
– un sommeil insuffisant ou de mauvaise qualité.
Cette inflammation permanente se traduit souvent par :
– une fatigue profonde,
– une sensation de lourdeur,
– un brouillard mental,
– le sentiment d’être “ralenti·e”, sans comprendre pourquoi.
Réduire cette inflammation, c’est avant tout réapprendre à nourrir votre corps plutôt que le surcharger.
Privilégier la vraie nourriture, celle qui apaise et régénère, qui a poussé au soleil et non dans une usine, est un premier pas puissant.
Outils thérapeutiques pour apaiser l’inflammation de bas grade
Alimentation anti-inflammatoire
– Légumes verts, légumes colorés, herbes aromatiques, poissons gras, noix et graines.
– Réduisez les produits transformés, le sucre raffiné, les huiles industrielles et les aliments ultra-transformés.
Rééquilibrage du microbiote
– Introduisez des aliments fermentés (choucroute, kimchi, yaourt végétal fermenté) et des fibres douces pour nourrir vos bonnes bactéries.
Gestion du stress
– Méditation, cohérence cardiaque, respiration consciente ou micro-pauses régulières pour calmer le système nerveux.
Sommeil réparateur
– Maintenez une routine régulière, couchez-vous tôt, créez un environnement sombre et silencieux.
Activité physique douce
– Marche, yoga, étirements, qi gong ou natation : bouger stimule la circulation, réduit l’inflammation et oxygène les tissus.
5. Le manque de récupération cellulaire
Vous dormez… mais votre corps, lui, ne récupère pas vraiment.
Vous passez peut-être 8 heures au lit, mais la qualité du sommeil n’est plus au rendez-vous.
Les causes sont nombreuses :
– la lumière bleue des écrans le soir,
– les repas trop tardifs,
– le stress accumulé,
– ou simplement le manque de rythmes naturels : lever tardif, manque de lumière du matin.
Le sommeil n’est pas seulement une pause.
C’est un véritable moment de réparation cellulaire :
– votre foie détoxifie,
– votre système nerveux trie les informations de la journée,
– votre cerveau se régénère.
Si ces processus sont perturbés, la fatigue devient chronique, quelle que soit la durée de votre sommeil.
Outils thérapeutiques pour optimiser la récupération cellulaire
Créer un rituel du coucher sacré
– Éteignez les écrans au moins 1 heure avant de dormir.
– Respirez profondément, pratiquez une courte méditation ou visualisation.
Obscurité et silence
– Votre chambre doit être la plus sombre possible.
– Limitez les bruits et lumières parasites, même ceux des appareils électriques.
Rythmes naturels
– Essayez de vous lever à heure fixe, idéalement avec la lumière naturelle du matin.
– Exposez-vous au soleil dès que possible pour réguler votre horloge interne.
Repas légers le soir
– Évitez les repas lourds ou riches en glucides tard le soir.
– Favorisez des protéines digestes, des légumes cuits ou des bouillons.
Respiration et détente
– 5 minutes de cohérence cardiaque ou de respiration lente avant de vous coucher aident à abaisser le cortisol et à préparer le corps à un sommeil profond.
6. Les toxines et polluants du quotidien
Vous faites attention à votre alimentation… mais avez-vous pensé à votre environnement ?
Les cosmétiques, les produits ménagers, les plastiques, les bougies parfumées, les lessives industrielles, la pollution de l’air intérieur…
Tout cela crée une charge toxique pour votre foie, votre grand filtre naturel.
Lorsque votre foie est saturé, votre corps n’arrive plus à éliminer correctement les déchets et toxines.
Le résultat : vous ressentez de la lourdeur, de la lenteur, une fatigue diffuse, et parfois même des douleurs articulaires ou des migraines.
Alléger votre environnement, c’est alléger votre corps.
Outils thérapeutiques pour réduire la charge toxique
Aérer régulièrement
– Ouvrez les fenêtres tous les jours, même quelques minutes, pour renouveler l’air intérieur.
Hydratation de qualité
– Buvez une eau pure, filtrée si possible, pour aider le foie à éliminer les toxines.
Produits simples et naturels
– Préférez les cosmétiques bio ou faits maison, les produits ménagers naturels (vinaigre, bicarbonate, savon de Marseille).
– Limitez les plastiques en cuisine et pour le stockage des aliments.
Alimentation légère et détox douce
– Légumes frais et cuits, bouillons, herbes aromatiques et infusions détoxifiantes peuvent soutenir le foie.
Prendre conscience des polluants invisibles
– Bougies parfumées, aérosols, encens ou sprays industriels peuvent sembler anodins mais participent à la surcharge toxique.
– Faites des choix plus simples pour réduire cette exposition quotidienne.
7. Les émotions non digérées
Ce que vous n’exprimez pas, votre corps le porte.
Les émotions refoulées deviennent tension, blocage, inflammation.
Elles peuvent se traduire par :
– des crispations musculaires,
– des maux de dos,
– des troubles digestifs,
– ou simplement cette impression d’être “à plat” sans raison.
Chaque émotion non accueillie consomme énormément d’énergie, car votre système nerveux doit sans cesse contener ce que vous refusez de ressentir.
Apprendre à accueillir vos émotions, c’est libérer une quantité incroyable d’énergie vitale.
Outils thérapeutiques pour accueillir et digérer vos émotions
Exprimer par l’écriture
– Tenez un journal quotidien pour noter vos ressentis, même quelques lignes suffisent.
Bouger le corps
– La danse, le yoga, le stretching ou la marche consciente aident à libérer les tensions physiques liées aux émotions.
Respiration consciente
– Quelques minutes de respiration profonde ou de cohérence cardiaque aident le système nerveux à relâcher les blocages.
Laisser couler les larmes
– Pleurer est un moyen naturel et puissant de libérer l’énergie émotionnelle accumulée.
Créer et jouer
– Peindre, chanter, bricoler ou tout autre acte créatif permet de transformer l’énergie émotionnelle en quelque chose de positif et nourrissant.
8. Les déséquilibres hormonaux
Vos hormones sont les messagères de votre équilibre.
Quand elles se dérèglent, tout votre système s’en trouve affecté : sommeil, humeur, digestion, concentration, libido… et énergie.
Que ce soit votre cycle menstruel, votre thyroïde, vos surrénales ou la ménopause, tous ces équilibres sont fragiles et peuvent être influencés par :
– le stress,
– les toxines,
– l’alimentation,
– le manque de lumière ou de sommeil.
La fatigue hormonale est souvent cyclique : vous pouvez vous sentir “vide” à certains moments du mois, ou après le réveil.
Votre corps vous envoie des signaux précieux, si vous prenez le temps de les écouter.
Honorer votre rythme hormonal, c’est aussi honorer votre féminin.
Prendre soin de votre énergie, c’est vous replacer au centre de votre cycle, de votre saison intérieure, et de vos besoins fondamentaux.
Outils thérapeutiques pour soutenir vos hormones
Écouter votre cycle
– Notez vos niveaux d’énergie, votre humeur et vos symptômes tout au long du mois.
– Ajustez vos activités selon votre phase : repos, créativité, action.
Alimentation adaptée
– Consommez des aliments riches en oméga-3, magnésium et vitamines B pour soutenir la production hormonale.
– Limitez les aliments transformés et le sucre, qui perturbent les hormones.
Gestion du stress
– Méditation, respiration consciente, marche en nature ou micro-pauses régulières pour soutenir les surrénales.
Sommeil réparateur
– La régularité du coucher et du lever aide à équilibrer les hormones, notamment la mélatonine et le cortisol.
Exposition à la lumière naturelle
– Le matin, profitez de la lumière du soleil pour réguler votre rythme circadien et soutenir la thyroïde.
9. Le manque de lumière naturelle et de mouvement
Nous sommes des êtres solaires.
Votre corps a besoin de lumière naturelle pour réguler l’horloge biologique, produire de la sérotonine, de la dopamine et de la vitamine D.
Or, beaucoup d’entre nous passent la journée en intérieur, derrière un écran, sans jamais capter la lumière directe du jour.
Le résultat :
– fatigue,
– baisse d’humeur,
– sommeil perturbé,
– et même une sensation de manque de joie.
Bouger et s’exposer au soleil sont des remèdes simples et puissants.
Même 10 minutes dehors le matin peuvent réinitialiser votre énergie pour la journée.
Le mouvement, c’est la vie.
Quand l’énergie circule, la vitalité revient.
Outils thérapeutiques pour capter la lumière et stimuler le mouvement
Exposition matinale au soleil
– Sortez au moins 10 minutes dès le matin, sans lunettes de soleil si possible, pour stimuler la production de vitamine D et réguler votre horloge biologique.
Micro-pauses lumineuses
– Faites quelques pauses en extérieur dans la journée, même courtes, pour augmenter votre exposition à la lumière naturelle.
Bouger régulièrement
– Marchez, étirez-vous, dansez, faites du yoga ou des mouvements doux toutes les heures pour stimuler la circulation et l’énergie.
Limiter l’exposition aux écrans
– Essayez de réduire le temps passé devant les écrans ou utilisez des filtres de lumière bleue en soirée pour préserver le rythme circadien.
Allier lumière et mouvement
– Profitez de chaque sortie pour marcher ou bouger activement : votre corps et votre esprit en bénéficieront doublement.
10. Les relations et environnements énergivores
Enfin, le dernier grand coupable — et pas des moindres : les personnes, les lieux et les situations qui vous vident.
Vous savez, ces moments où vous ressortez d’une discussion vidé·e, ou d’un lieu avec le cœur serré, sans comprendre pourquoi…
C’est votre champ énergétique qui parle.
Certaines interactions vous nourrissent, d’autres vous consomment.
Apprendre à écouter votre ressenti, à poser des limites, à vous retirer quand c’est nécessaire, c’est une hygiène énergétique aussi importante que votre alimentation ou votre sommeil.
Protéger votre énergie, ce n’est pas être égoïste.
C’est être responsable de votre lumière, de votre vitalité et de votre bien-être.
Outils thérapeutiques pour protéger votre énergie
Écouter vos ressentis
– Notez comment vous vous sentez après chaque interaction ou sortie.
– Identifiez ce qui vous vide et ce qui vous nourrit.
Poser des limites claires
– Apprenez à dire “non” ou à limiter votre temps avec certaines personnes ou situations.
– Ce n’est pas un refus du monde, c’est un choix pour préserver votre énergie.
Créer des zones de régénération
– Aménagez des espaces calmes chez vous pour vous recentrer et vous ressourcer.
– Quelques minutes dans la journée suffisent pour recharger vos batteries.
Rituels de protection énergétique
– Méditation, visualisation ou simple respiration consciente pour fermer vos “portes énergétiques” après des interactions difficiles.
Entourez-vous de ce qui vous nourrit
– Priorisez les rencontres, activités et lieux qui stimulent votre vitalité et votre créativité.
En réalité… il y a bien plus que cela.
Je n’ai répertorié ici que certains des grands coupables de la fatigue chronique.
Mais il y en a bien davantage :
les carences en lumière, le manque de joie, la surcharge mentale, les blessures émotionnelles non cicatrisées, les perturbateurs endocriniens, les champs électromagnétiques, les mémoires familiales, la peur de ralentir…
Chaque fatigue raconte une histoire.
Et cette histoire t’invite à réécrire ton rapport à l’énergie, au repos, à la vie elle-même.
Et si votre fatigue était votre guide ?
Et si, plutôt que de la combattre, vous appreniez à l’écouter ?
Et si elle n’était pas un obstacle, mais une invitation à vous réaligner, à vous recentrer, à vous libérer ?
Votre fatigue n’est pas votre ennemie.
C’est le signal le plus sincère de votre corps, celui qui vous dit :
“J’ai besoin de douceur. J’ai besoin de toi.”
Alors respirez.
Ralentissez.
Offrez-vous du repos de qualité, pas seulement du sommeil.
Du silence, pas seulement de la solitude.
De la présence, pas seulement du faire.
Parce qu’à ce moment-là, vous cesserez de lutter contre la fatigue…
et vous commencerez à retrouver votre énergie vitale.
Merci d’être présente ici, prenez soin de vous.
A bientôt
🌿 Respire Ressens Transforme : un accompagnement individuel et des ateliers collectifs pour apaiser votre système nerveux, améliorer votre quotidien, reprendre confiance en vous et harmonisez votre vie en s’alignant avec vos valeurs.
Nadine
Quelques études et revues pertinentes
Dysfonction mitochondriale et fatigue
-
Association de la dysfonction mitochondriale et de la fatigue
Cette revue examine les études sur la relation entre les marqueurs de la dysfonction mitochondriale et la fatigue, proposant des pistes de recherche futures.
https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC4136529/
Inflammation de bas grade et fatigue
-
Le coût élevé de l’inflammation de bas grade : fatigue persistante et troubles cognitifs
Cette étude propose que l’inflammation chronique de bas grade induise et/ou maintienne la fatigue persistante en perturbant l’équilibre énergétique cellulaire.
https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC5932180/
Manque de sommeil et récupération cellulaire
-
Le sommeil et le stress cellulaire
Cette revue met en évidence l’importance du sommeil dans le processus de récupération après un stress aigu ou une maladie, soulignant la réponse adaptative des cellules.
https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC7008961/
Toxines environnementales et fonction hépatique
-
Le rôle de l’exposome dans les maladies hépatiques
Cette étude indique que les expositions environnementales, telles que la pollution de l’air et les produits chimiques, sont significativement associées aux maladies hépatiques.
https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC10448911/
Stress émotionnel et fatigue
-
La dynamique émotionnelle dans la fibromyalgie : douleur, fatigue et stress
Cette étude présente de nouvelles découvertes sur la dynamique émotionnelle dans la fibromyalgie, en période de douleur accrue, de fatigue et de stress.
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S152659002300398X
Manque de lumière naturelle et de mouvement
-
La relation entre la fatigue et l’exposition à la lumière pendant la journée
Cette étude examine comment l’exposition à la lumière pendant la journée est liée à la réduction de la fatigue chez les patients atteints de cancer du sein.
https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC1599705/

